Violette Duval fait une halte à Xàbia dans ses plus de 6000 km à pied en raison de la fibromyalgie

Il y a neuf mois, la jeune Française, Violette Duval, a entrepris un défi personnel pour la fibromyalgie, une maladie qui a commencé à avoir des symptômes alors qu’elle n’avait que 14 ans, lorsqu’elle a remarqué des douleurs aux mains et aux pieds, mais n’a été diagnostiquée qu’à l’âge de 25 ans lorsqu’elle a souffert. une grande crise. Comme l’explique Violette, cette maladie n’est pas reconnue en France et il n’y a pas non plus de médicament spécifique pour elle.

Violette, qui a dû changer de mode de vie en raison de cette maladie, n’a pas voulu rester les bras croisés lors du diagnostic et s’est engagée à donner de la visibilité à cette pathologie qui touche plus de 2 millions de personnes en région française. Pour ce faire, son objectif est de parcourir plus de 6000 km à pied, accompagné d’une charrette, qui porte une affiche sur la fibromyalgie et qui lui permet de transporter tous ses bagages, car en raison de la douleur chronique dont elle souffre La maladie ne peut pas transporter un sac à dos Violette à côté de son chariot à Xàbia

Cette jeune Française a commencé ce chemin le 13 avril 2019 depuis le Mont-Saint-Michel, en Normandie et le long de la côte, elle a parcouru une partie de la France, du Portugal et de l’Espagne. Ces jours-ci, il s’est arrêté à Xàbia, avec environ deux mois pour terminer ce défi et avec plus de 5000 km parcourus. Son objectif, Marseille, la ville qu’il compte atteindre le 4 avril.

Avec cette expérience, qui lui aura pris pratiquement un an et avec laquelle Violette montre des progrès et des difficultés au reste de la société, on s’attend à ce que l’administration de la santé reconnaisse la maladie et que des recherches puissent être lancées pour sa guérison. ou du moins, trouvez un médicament qui soulage les souffrances des personnes atteintes de fibromyalgie. Violette sur la plage de l’Arenal à Xàbia

Violette se sent satisfaite de ce défi et désireuse de continuer à sensibiliser à cette maladie. Et c’est que, malgré la marche moyenne de 20-25 kilomètres par étape qui est balisée pendant tous ces mois,  «à aucun moment je n’ai pensé à partir car mon objectif est clair. Je veux me battre pour une solution et une reconnaissance de la fibromyalgie, une maladie qui m’a poussé à renoncer à mon dévouement au basket-ball professionnel et à mon travail ».

n’en pas douter, cette jeune française fait preuve d’une grande force mentale,  “je veux alerter sur le fait qu’il ne s’agit pas d’une maladie psychologique, comme on me l’a indiqué, et qui est généralement diagnostiquée tardivement”.

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